Voici quelques reflexions s'il vous prenait l'idee d'aller a Kiev, tarifs d'Air Baltic obligent.
Le point favorable, c'est qu'il y a une grande quantite de monuments historiques, notamment eglises et monasteres orthodoxes.
Le point pas desagreable, c'est qu'il n'y a pas besoin de visa.
Les points defavorables.
Des le controle d'identite a l'aeroport, on est confronte a une bureaucratie toute sovietique. Point demi-favorable: les papiers a remplir sont en ukrainien et en anglais. A l'hotel, il y a toujours les dames a l'etage qui vous donnent votre cle et surtout vous surveillent.
La ville est grande (3 a 4 millions d'habitants selon les sources) et a des infrastructures depassees. De plus, elle est sale. La grande experience est les transports en commun. Prenez seul le metro ou tout est indique en cyrillique et ou les correspondances ne sont pas indiquees, et vous m'en direz des nouvelles!
Car le point noir, c'est que rien n'est fait pour le touriste isole. Tout est ecrit en cyrillique et personne ne parle anglais. Si, par hasard, vous parlez russe, ca n'arrange pas vraiment vos affaires, car beaucoup de vos interlocuteurs vous repondrons qu'ils ne savent pas. Je les soupconne en fait de ne pas vouloir repondre a un russophone!
Une derniere chose: les Ukrianiens ont rapidement compris l'interet de l'economie de marche. La-bas, tout est payant. On nous a meme fait payer les gobelets en plastique dans une cafeteria!
En resume, comme toute ville, Kiev vaut la peine d'etre vue. Mais , soit allez-y en voyage organise (mais, perso, je n'aime pas). Soit allez-y avec un copain ou une copine russophone. C'est ce que j'ai fait.
Le point favorable, c'est qu'il y a une grande quantite de monuments historiques, notamment eglises et monasteres orthodoxes.
Le point pas desagreable, c'est qu'il n'y a pas besoin de visa.
Les points defavorables.
Des le controle d'identite a l'aeroport, on est confronte a une bureaucratie toute sovietique. Point demi-favorable: les papiers a remplir sont en ukrainien et en anglais. A l'hotel, il y a toujours les dames a l'etage qui vous donnent votre cle et surtout vous surveillent.
La ville est grande (3 a 4 millions d'habitants selon les sources) et a des infrastructures depassees. De plus, elle est sale. La grande experience est les transports en commun. Prenez seul le metro ou tout est indique en cyrillique et ou les correspondances ne sont pas indiquees, et vous m'en direz des nouvelles!
Car le point noir, c'est que rien n'est fait pour le touriste isole. Tout est ecrit en cyrillique et personne ne parle anglais. Si, par hasard, vous parlez russe, ca n'arrange pas vraiment vos affaires, car beaucoup de vos interlocuteurs vous repondrons qu'ils ne savent pas. Je les soupconne en fait de ne pas vouloir repondre a un russophone!
Une derniere chose: les Ukrianiens ont rapidement compris l'interet de l'economie de marche. La-bas, tout est payant. On nous a meme fait payer les gobelets en plastique dans une cafeteria!
En resume, comme toute ville, Kiev vaut la peine d'etre vue. Mais , soit allez-y en voyage organise (mais, perso, je n'aime pas). Soit allez-y avec un copain ou une copine russophone. C'est ce que j'ai fait.